Théa Meunier

Le programme m’a permis de m’extraire des frontières d’un raisonnement purement juridique destiné à répondre uniquement aux problématiques juridiques des clients pour me permettre d’identifier et de répondre à leurs problématiques sous un angle bien plus opérationnel.

Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre le Master DMI d'HEC Paris ? 

J’ai souhaité parfaire ma formation juridique avec le MS/LLM Droit et Management International afin d’obtenir des outils pratiques me permettant d’acquérir une réelle autonomie dans ma carrière d’avocat et de m’adapter aux évolutions de la profession.

Que retirez-vous le plus de votre expérience au sein du programme ? 

Les enseignements que j’ai reçus dans le cadre du DMI facilitent au quotidien ma compréhension des problématiques opérationnelles qui se posent dans mes dossiers ainsi que le rôle des différents intervenants avec lesquels je suis amenée à travailler. Je peux ainsi conseiller les clients au mieux de leurs intérêts. 

Les cours dispensés par des professionnels ainsi que les mises en situation sur des cas issus de la pratique et le travail d’équipe mis en place au sein du DMI sont un véritable atout puisqu’ils donnent les clés d’un savoir-être extrêmement utile à l’insertion professionnelle. Ils offrent un avantage sérieux au candidat du master lors de son processus de recrutement. Mes camarades du DMI et moi-même avons d’ailleurs été rapidement recrutés durant nos stages finaux. 

Enfin, lors de mon entrée au DMI, mon bagage académique était un parcours de droit classique en faculté : une licence de droit privé dont je suis sortie lauréate ainsi qu’un master II droit des affaires et fiscalité à l’université Paris I. Ayant obtenu mon CRFPA, j’étais également, lors de mon entrée au DMI, élève-avocate et j’ai ainsi pu effectuer le DMI en même temps que l’école des avocats à titre de PPI. Or, finalement cette formation juridique, incontournable, avait cloisonné mes schémas de raisonnements. 

Le DMI m’a permis de m’extraire des frontières d’un raisonnement purement juridique destiné à répondre uniquement aux problématiques juridiques des clients pour me permettre d’identifier et de répondre à leurs problématiques sous un angle bien plus opérationnel ainsi qu’à mes propres problématiques de carrières. L’avocat, en tant qu’entrepreneur individuel, doit pouvoir en effet être en mesure de mettre en place une gestion raisonnée de son entreprise et savoir se positionner afin de rester compétitif dans un environnement concurrentiel dans lequel de nouveaux acteurs, extérieurs au monde du droit, apparaissent. Le double cursus droit et école de commerce que permet le DMI m’a offert les outils nécessaires pour répondre à ces problématiques.

Quel est votre emploi actuel ? Quelles sont vos responsabilités ? 

Actuellement je suis avocat collaboratrice au sein du cabinet August Debouzy. J’interviens principalement en matière de fiscalité individuelle et patrimoniale ainsi qu’en fiscalité des entreprises. 

L’exercice de la profession d’avocat est une passion à part entière. La fiscalité patrimoniale et des entreprises permet d’avoir une pratique très diversifiée où conseil et contentieux ont leur place. Il n’y a pas de journée type, chaque journée est aussi diversifiée que les dossiers et problématiques que nous traitons. 

Quelles sont vos aspirations professionnelles ? En quoi le Mastère DMI vous aidera-t-il à les réaliser ? 

Je souhaite pour l’instant évoluer au sein de grands cabinets d’avocats de la place parisienne. Le Mastère DMI de HEC est une formation indispensable pour un avocat d’affaires pour une double raison : (i) elle permet d’accéder à un réseau incroyable et (ii) elle permet d’obtenir une partie du bagage commercial de HEC rapidement. Cette formation est gage de qualité et génère une confiance rapide de nos interlocuteurs, ce qui facilitera, j’en suis certaine, le dessein et l’évolution de ma vie professionnelle. 

Avez-vous des conseils à donner aux étudiants qui envisagent de rejoindre le Mastère DMI et qui souhaitent suivre le même parcours professionnel ? 

Mon conseil est d’être capable, au quotidien, de tirer des enseignements de tout ce qui nous entoure et de chaque personne côtoyée/rencontrée. Il faut savoir se remettre en question constamment et questionner tout ce qui est présenté comme étant une vérité inviolable afin de ne pas vivre sur ses acquis et de savoir faire la différence.  

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