Alors que Les Echos s'interrogent sur la situation des entreprises internationales en Russie, qui avaient pour leur grande majorité annoncé leur retrait du pays après l'éclatement du conflit en Ukraine. Interrogé, le professeur de droit à HEC Paris Alberto Alemanno explique qu'"à l'époque, le fait de ne pas prendre position pouvait vous faire percevoir comme complice de la Russie, et le Kremlin évoquait la menace d'une nationalisation des entreprises. Cette menace ne s'est pas concrétisée, et la pression de l'opinion publique a cessé."