Dans une tribune pour Les Echos, le professeur de droit à HEC Paris Alberto Alemanno défend la mise en place d'une bien plus grandes transparence en ce qui les concerne les relations entre lobbyistes et législateurs : "C'est la condition sine qua non d'un exercice démocratique et sincère de ce cinquième pouvoir. C'est aussi la seule manière pour dissiper les doutes sur l'immixtion du secteur privé dans la rédaction de la loi."